Pour commencer, j'ai officiellement prit le concept de la mort comme idée architecte. Une des parties du travail est consacré à la comparaison de l'idée dans deux contextes différents, c'est-à-dire deux époques différentes. Les deux contextes dont j'ai choisis de parler maintenant ne seront peut-être pas ceux qui seront analysés dans la présentation officielle, mais il faut bien commencer quelque part, et je commencerai avec la conception de la mort d'aujourd'hui en occident et terminerai avec celle de l'égypte ancienne.
De nos jours, la mort est pluôt un sujet tabou, et pour plusieurs causes. On peut penser à la laïcisation de la société qui en est une. Nos croyances religieuses donnaient un sens à la mort, de manière à la faire parraître moins effrayante. On dit souvent que la science a prit le rôle de la religion dans la société actuelle, ce qui accentue notre réticence face à la mort. Car, pour la science, l'homme est un être biologique, un organisme vivant.Or, dans cette optique, quand notre organisme est considéré comme plus fonctionelle, et ne pourra plus jamais fonctionné, nous somme considéré mort. Ensuite nous nous décomposons et devenons quelque chose de totalement autre que nous, nous avons cessé d'exister. C'est pourquoi la vision scientifique parrait plus dramatique que la vision religieuse, la mort est considéré comme une fin. Pour autre cause, on pourrais qualifier notre civilisation d'humaniste, l'homme et ses besoins est ce qui compte avant tout. Dans cette vision, on prône l'individualité des hommes,le fait qu'ils sont tous particuliers. L'homme devient alors des individus irremplaçables ou difficilement remplaçable, comparément aux temps de la Grèce ancienne où l'homme se définissait par son rôle dans la cité, il était alors seulement une fonction qui peut être plus facilement remplacé, ce qui accentue bien le tabou de la mort en la dramatisant.
Maintenant, pour ce qui est la conception de la mort en Égypte ancienne, elle était fort différente. Oui, les hommes avaient une certaine angoisse face à la mort, mais pas pour les même raisons. Au lieu de vivre dans la deni de la mort comme nous, ils vivaient leurs vies dans le seul but d'avoir accès au royaume d'Osiris (qui est l'équivalent du paradis). Dans leurs croyances, leurs âmes se font pesé, de manière à savoir si ils avaient vécu une bonne vie. Donc, les actions des égyptiens aux quotidiens étaient tous dictés dans la fonction de pouvoir entrer dans les champs d'Ialou. Les rites funéraires étaient également très élaborés, ce qui nous mène à croire qu'ils vénéraient la mort. On peut citer comme exemple le rituel précis pour vider les corps, les momifier, et les entreposer. Nous n'avons qu'à regardé la grandiosité des pyramides de Gizeh pour comprendre que la mort était une étape importante, sacré. L'une d'elle (celle du Pharaon Khéops) est si imposante que Bonaparte a estimer pouvoir construire un mur qui ferait le tour de la France avec une hauteur de trois mètres et large de trente centimètre avec tout le calcaire utilisé pour sa construction.
En bref, on peut voir un changement drastique entre les deux visions. Pendant que de nos jours, la mort est quelque chose de tragique, final, et que l'on passe notre vie a la renier, chez les Égyptiens (et d'autres peuples bien sûr) la mort est seulement un passage, un but pour lequel on se prépare toute une vie durant.
Source: Larousse junior de L'Égypte, Paris, Larousse, 2003, 128 pages.